Les machines à former des perles vous permettent de créer des billes de pâte polymère de tailles et de formes égales à chaque fois. Pour former les billes, il suffit d’insérer une petite quantité de pâte polymère entre les deux parties de l'outil et de les glisser l'une contre l'autre avec des mouvements de va-et-vient. 5 modèles différents sont disponibles.

Outil permettant d'aplanir et d'aplatir la pâte polymère de façon régulière. Il est muni d'une manivelle qui actionne les rouleaux compresseurs et d'un serre-joint permettant de fixer la machine à une surface de travail. Cet outil possède 6 réglages entre 0,2 mm et 2,2 mm d'épaisseur. Il est idéal pour créer des plaques uniformes de différentes épaisseurs et pour réaliser facilement des dégradés de couleurs.

Le macramé est une technique visant à nouer des fils ou des cordons pour ainsi former un tissu. Ce terme provient de l’arabe mahrama (« mouchoir, serviette ») et est utilisé pour désigner tout travail de dentelle exécuté en fils tressés et noués. Pour le bijou de fantaisie, on utilise la technique de macramé pour réaliser des bracelets ou des colliers et on peut y intégrer des billes, comme dans le cas du bracelet Shamballa.

La magnésite est une pierre de couleur blanche, jaune à brune ou parfois incolore. Elle est transparente à translucide. Toutefois, sur le marché, on retrouve une pierre semblable mais opaque qui se nomme aussi magnésite. Elle peut être teintée de toutes les couleurs et imite souvent la turquoise et le lapis-lazuli.

Le maillechort est un alliage de cuivre, de zinc et de nickel de couleur argentée. Il est connu également sous le nom d’argentan. En anglais, on l'appelle nickel silver, German silver, new silver, nickel brass, albata, alpacca, ou electrum. Le terme « silver » en anglais fait référence à sa couleur argentée et non à sa composition. Cet alliage a été mis au point au début du 19e siècle par deux ouvriers français nommés Maillet et Chorier, d’où l’appellation maillechort. À l’origine, le maillechort fut utilisé pour la frappe de certaines monnaies allemandes et françaises. Aujourd'hui, il est utilisé pour la fabrication des pièces de 1 et 2 euros, mais aussi pour la fabrication de rivets, ressorts, fermetures éclaires mais est aussi utilisé en bijouterie. Le maillechort possède une bonne usinabilité, élasticité, soudabilité, résistance à la corrosion et une bonne aptitude aux traitements de surface (étampage, martelage, etc.). Il existe des variantes de maillechorts contenant différents additifs, en petites quantités, tels le fer et le plomb. Ces additions sont destinées à améliorer certaines propriétés du maillechort, comme sa dureté ou son usinabilité.

Outil utilisé pour le martelage et la forge des fils métalliques tels que l’aluminium, le cuivre, le laiton et les métaux précieux. Il est composé d’une tête métallique comprenant une table plate et une panne ronde ou pointue. Les surfaces déterminent la texture et le fini de l’élément martelé. La table du marteau permet de marteler à plat, tandis que la panne ronde permet de texturer le métal en formant de petits creux. La panne pointue permet de strier le métal. Le manche en bois amortie le choc et est construit pour que la main se place à l’endroit exact du centre de percussion, ce qui optimise l’utilisation du marteau. À utiliser sur une enclume ou un tas d’acier comme surface de martelage. Marteler les fils métalliques leur donne une nouvelle allure et augmente leur solidité. Le métal se transforme : il s’élargit, s’allonge, durcit et devient plus brillant. Pour plus de textures, utilisez les marteaux texturés.

Le marteau texturé permet d’obtenir des textures différentes comme des pois, des quadrillés, des biseaux et des lignes. Ils sont composés de deux embouts texturés qui imprègnent de motifs les fils métalliques lorsqu’ils sont martelés. À utiliser idéalement avec des fils métalliques souples comme l’aluminium. Un plus gros calibre de fil offrira un meilleur rendu du motif.

Le martelage est une technique utilisée dans la fabrication de bijoux de fantaisie visant à façonner et forger le métal à l’aide d’un marteau. Le métal peut être sous forme de plaques ou de fils. Pour un meilleur résultat, on doit travailler sur une surface de travail comme une enclume, un tas d’acier (bloc d’acier) ou un triboulet métallique. Le martelage sert à forger, à texturer et à écrouir (durcir) le métal. Le résultat du martelage changera selon la partie (panne) du marteau avec laquelle il a été réalisé. La partie plate (table) martèle à plat, sans texture, tandis que l’autre extrémité peut être ronde, biseautée ou à motifs divers et sert à texturer. Le martelage est souvent réaliser sur des fils métalliques tels que l’aluminium, le cuivre et l’argent. Attention, un martelage abusif peut fragiliser le métal et le revêtement coloré du fil, s’il y a lieu.

Le mastic de silicone permet de créer un moule à partir d'objets qui vous entourent (breloques, pendentifs, pièces de monnaie, coquillages, brindilles, etc.). Ces moules servent ensuite à y couler de la résine. Il s'agit de deux pâtes qui ''durcissent'' lorsque mélangées en parts égales. La pâte prend la texture d’un caoutchouc flexible. Attention : vous disposez de 3 minutes pour pétrir la pâte de manière homogène et mouler l'objet avant que le mastic de silicone ne commence à figer. Le temps d'attente est de 25 minutes. Les moules sont flexibles et souples, il est donc possible de les réutiliser. Lire les instructions fournies dans l’emballage avant de procéder.

Le terme médaillon peut faire référence à une grande médaille qui a été fabriquée par moulage et non par frappe, mais fait aussi référence à un petit pendentif pouvant être suspendu à une chaîne. Le médaillon est souvent muni d’un mécanisme permettant de l’ouvrir et d’y insérer une photo ou un souvenir. Il est souvent en métal (précieux ou non) et de forme ronde, ovale ou en cœur.

Un médium de transfert est généralement liquide et utilisé pour transférer une image sur une autre matière, comme de la toile, du papier ou encore sur de la pâte polymère. Le médium de transfert utilisé pour la pâte polymère est un liquide semi transparent allant au four. Il permet de transférer une image sur la pâte, faire des ajouts de couleurs, coller des sections de pâte polymère et également vernir la pâte. Pour réaliser un transfert d'image, il suffit d'appliquer une mince couche du produit sur l'image choisie et de la faire cuire de 15 à 30 minutes à 130°C. Il faut ensuite faire tremper l'image dans l'eau et par la suite, frotter doucement le papier pour l'éliminer et ne conserver que l'encre de l'image. Une fois sec, ce transfert peut alors être taillé et posé sur une surface de pâte polymère non cuite. Cuire selon les directions sur l'emballage de la pâte polymère. Pour ajouter une touche de couleur, une petite quantité de pigment peut être mélangée au liquide pour le colorer. Le médium de transfert pour pâte polymère peut également servir d'adhésif pour coller des sections de pâte polymère. Pour ce faire, il faut toutefois le faire cuire au préalable pour qu'il soit collant. Ce médium peut également être utilisé comme vernis.

Outil composé d’une base métallique. Cette base est munie de deux ressorts de séparation ainsi que de deux vis à ailettes. Les vis sont insérées chacune dans une bobine de bois munie d’un clou servant à tendre les fils de la chaîne. La chaîne est l’ensemble des rangées de fils qui guident et soutiennent le tissage. La trame est composée par le fil et les billes qui se faufilent entre les fils de chaîne. C’est le croisement des fils de chaîne et du fil de trame qui constitue le tissage. Cet outil est utilisé pour la confection de tissage à plat et régulier. Il est idéal pour la création de bracelets larges à motifs simples.

Le mètre est l'unité de base de longueur du système international (SI). Il s’agit d’une unité de mesure équivalant à 39,37 pouces ou 100 centimètres.

Le millefiori est une technique de production de cannes en verre aussi nommées murrhine. Cette technique consiste à créer des motifs multicolores à l’intérieur d’une longue tige de verre. Le motif ainsi obtenu n’est seulement visible que dans la tranche de la canne. Les billes de millefiori sont composées d’un centre en verre, coloré ou non, sur lequel de fines tranches de cannes sont appliquées. La bille peut être entièrement ou partiellement recouverte de motifs. Il est aussi possible de faire des pendentifs en millefiori.

Les billes miracle sont fabriquées principalement au Japon et en Chine et sont constituées de fibre de verre ou de plastique. Au Japon, leur noyau est constitué d’une bille de Lucite plaquée d’un poli argent à effet miroir. Celui-ci est recouvert de plusieurs couches de laque de couleurs. La lumière, qui passe à travers les différentes couches de laque, est ensuite réfléchie par le miroir argenté qui recouvre la bille, ce qui lui donne une impression de profondeur en trois dimensions. Encore plus éclatantes en pleine lumière, les billes miracle donnent l’illusion qu’il y a une bille à l’intérieur de la bille, d’où la provenance de leur nom. Les billes miracle produites en Chine sont de bonne qualité et sont aussi beaucoup plus abordables. Leur reflet est très bien réussi, mais le centre de la bille n’est pas plaqué d’un poli argent. Les billes chinoises sont plutôt recouvertes de plusieurs couches d’enduit réfléchissant superposées à des couches de couleurs translucides. La lumière se reflète donc sur les couches de matière réfléchissante pour produire l’effet « miracle ».

Une montre est un outil de mesure du temps que l’on porte au poignet, dans la poche, suspendue, en broche, en breloque, en porte clé, intégrée dans un collier ou une bague, etc. Les cadrans de montre sont disponibles dans une multitude de couleurs, de formes et de styles et peuvent être intégrés à un bijou. Certains cadrans sont à oeillets, d’autres sont percés et permettent d’y insérer des fils ou des bandes de tissu. Un peu d’histoire : Bien que l’origine de la montre dans le temps soit incertaine, on sait que François I (1494-1547), roi de France, en possédait deux et qu’Élizabeth I (1533-1603), reine d’Angleterre, portait une bague-montre.

Outil permettant d’enfiler rapidement une grande quantité de petites billes sur un fil. Il suffit de verser les perles à enfiler dans le bol et de faire pivoter le bol sur sa base à l’aide de la tige centrale. L’enfilage des perles se fait facilement grâce à l’aiguille courbée qui suit les courbes du moulin à perle. Il suffit de passer un fil dans l’aiguille et d’introduire l’aiguille dans le moulin en mouvement. Cet outil est idéal pour un enfilage de perles de rocaille de même diamètre sans séquence précise.